Paris: Un Congolais "Chucquto Mandungu Nsengibiembe" arrête la voiture officielle de Joseph Kabila à la place de l'Opéra pendant 1'45 secondes

C'est pour la première fois que les quotidiens français notamment le Monde et le Parisien parlent des Congolais en terme des "Combattants"! Les 79 congolais anti-kabila interpellés à cause de l'intifada contre la voiture officielle de Joseph Kabila le vendredi 6 décembre ont tous été libérés le jour même, contrairement à ce que les médias coupagistes instrumentalisés de Kinshasa ont annoncé : ils vont être extradé au Congo. D'autres ont continué à rêver debout poussant l'imagination trop loin: les "Combattants" ont bénéficié de la magnanimité de l'imposteur qui a demandé au président François Hollande de les relâcher. La France n'est pas une république bananière: pourchasser un imposteur, usurpateur, dictateur n'est encore un crime ! Le vendredi 6 décembre vers 10h le cortège de Joseph Kabila quitte l'hôtel InterContinental Paris Le Grand sise au 2 Rue Scribe, Opéra - Haussmann, 75009 pour son rdv avec Abdou Diouf à l'OIF. Un congolais le dénommé Chucquto Mandungu Nsengibiembe la trentaine bien sonné parvient à stopper le voiture officielle de Joseph Kabila.

Il demande au chauffeur de couper le moteur du véhicule. Le chauffeur s’exécute et demande qu'on baisse la glace fumée de côté de Joseph Kabila. Les policiers sont sur les dents ! L'homme n'est pas armé mais tient dans ses mains que le drapeau de la République démocratique du Congo. Il dit aux officiers de sécurité qu'il est congolais et qu'il veut parler à Joseph Kabila Kanambé. Pendant une minute quarante cing secondes, Chucquto Mandungu Nsengibiembe dit à Joseph Kabila Kanambé qu'il doit quitter le pouvoir puisqu'il n'est n'est pas congolais et lui montre la cicatrice du plaie qu'il garde encore à la main gauche. L'officier de sécurité, une femme, demande si elle s'approcher, le congolais dit qu'il n'est pas violent mais Joseph kabila Kanambé n'est pas son président, il n'est qu'un imposteur et usurpateur. Il exhibe la cicatrice de sa main gauche. Les touristes et badauds présents applaudissent le Congolais qui se laisse embarqué par la police.
 
C'est en quittant l'OIF que la voiture de Jo ka a subi l'intifada et il y a eu 79 congolais interpellés. Ancien militaire et trafiquant des minerais Chucquto Mandungu Nsengibiembe connait Hippolyte kanambé alias Joseph Kabila personnellement. En effet, lorsqu'il se rendait à Dar-es-salem en Tanzanie pour vendre son or et ses diamants, c'est Hippolyte Kanambé qui le conduisait. Il était son chauffeur taxi.
 
En 2000, à Kintambo Magasin à Kinshasa, alors que Chucquto Mandungu Nsengibiembe prend son verre au Nganda Bitshilux, il croise et reconnait Hippolyte Kanambé qui a depuis changé de nom, il se prénomme Joseph kabila, il est chef d'Etat-major de FAC-Forces Armées Congolaises. Alias Joseph Kabila qui feint de ne pas le reconnaître est surpris de voir arriver un jeune qui l'annonce que "Chucquto" l'a salué. Joseph Kabila envoie ses gardes du corps qui vont chercher "Chucquto" l'ont entraîné dehors. Joseph Kabila a pris une bouteille de Primus l'a cassé sur la jante de sa jeep, avec le tesson lui a ouvert tout l'avant bras. malgré ses cris de douleurs les badauds n'ont pas pu intervenir. Ce qui s'est passé le vendredi dernier matin non loin de la place de l'opéra, c'était le retrouvailles entre deux personnes qui se connaissent bien. Une vraie affaire d'hommes. Lorsque nous rencontrons "Chucquto" à Château-Rouge, il nous rassure qu'il a agi tout seul et il n'a pas été aidé dans sa démarche. Contrairement aux mensonges étatiques clamées par les Vuvuzélateurs à Kinshasa, lors du Sommet de l'Elysée, partout dans la ville de Paris, les combattants congolais, venus de différents pays en Europe, ont pourchassé Joseph Kabila pour lui demander sur son imposture et usurpation ainsi que les 12 millions de morts congolais à l'Est de la RDC alors qu'il est 12 ans au pouvoir. Joseph Kabila est rentré à Kinshasa comme il était venu en catimini, n'ayant même pas eu le courage de rencontrer la communauté congolaise. D'autres chefs d'Etat élu démocratiquement comme Macky Sall du Sénégal a pu dialoguer avec des Sénégalais de France.
Paris : 79 opposants au président congolais Joseph Kabila interpellés
St.S. | Publié le 06.12.2013, 22h22 | Mise à jour : 22h56
Les policiers parisiens ont interpellé, ce vendredi 6 décembre, en fin d’après-midi, 79 personnes au cours de manifestations non-déclarées aux abords du ministère de la Francophonie au niveau du quai d’Orsay (VIIe), place de la Résistance (VIIe), et cour Albert Ier (VIIIe), siège de l’ambassade de la République démocratique du Congo (RDC).
Quarante manifestants, présentés comme des opposants au président de la RDC, Joseph Kabila, actuellement en visite en France, ont été placés en garde à vue. «Ces personnes se sont réunies sur la voie publique pour manifester sans en avoir fait la demande, au préalable, auprès de la préfecture de police de Paris, révèle un haut fonctionnaire. Il n’y a pas eu de blessés au cours de ces interpellations et la situation a été rapidement maîtrisée».
Par ailleurs, des tensions entre ressortissants congolais - notamment les représentants de l’opposition ultra-radicale, qui se font appeler les Combattants - sont apparues ces dernières semaines à Paris.
«Ces opposants font en sorte d’empêcher, depuis plusieurs années, la tenue de concerts d’artistes congolais considérés par eux comme trop proches du pouvoir en place à Kinshasa, poursuit la même source. Un regain de tension est apparu ces dernières semaines alors qu’un concert du chanteur JB Mpiana doit se tenir le 21 décembre au Zénith de Paris. Ceux qui se font appeler les Combattants ont déjà programmé une manifestation, le jour du concert, afin de tenter de dissuader ceux qui voudraient s’y rendre. Plusieurs de ces personnes ont déjà été identifiées par la police».
LeParisien.fr

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